Sirios dépose le rapport 43-101 de l’estimation des ressources du projet aurifère Cheechoo, Québec

Montréal (Québec) – Les dirigeants de Ressources Sirios Inc. (TSXV: SOI) (« la compagnie ») ont le plaisir d’annoncer que Sirios a déposé sur SEDAR le rapport technique intitulé « Technical Report and Mineral Resource Estimate for the Cheechoo project, Eeyou Istche James Bay Quebec », avec une date effective du 6 décembre 2019. Le rapport, conforme aux normes NI 43-101 et complété pour la compagnie par BBA inc., comprend l’estimation des ressources du projet aurifère Cheechoo, situé à Eeyou Istchee Baie-James au Québec.

 

Le rapport recommande de poursuivre les travaux sur la propriété avec une première phase de travaux comprenant :

  • un programme de forage de 5 000 mètres pour tester le potentiel d’extension des ressources vers l’ouest;
  • la poursuite des tests métallurgiques incluant entre autres des tests de lixiviation de l’or en bouteilles et en colonnes;
  • l’exécution d’une étude préliminaire économique («PEA»).

 

Le rapport indique que, pour un modèle de fosse à ciel ouvert, les ressources présumées sont estimées à 1,6 millions d’onces d’or (Moz) contenues dans 71,0 millions de tonnes (Mt) à une teneur moyenne de 0,69 gramme d’or par tonne (g/t Au) (figure 1 et 2). De plus, il est mentionné qu’il existe un potentiel important d’augmentation des ressources minérales de 25% d’onces d’or additionnelles délimitées sur la propriété Cheechoo, advenant une entente avec les détenteurs de la propriété voisine pour avoir accès à ce contenu sur la propriété Cheechoo. Plus de précisions sont présentes à ce sujet dans le rapport. Une teneur de coupure de 0,30 g/t Au a été utilisée pour cette estimation de ressources minérales. La teneur de coupure et l’optimisation de la fosse potentielle ont été calculées en utilisant entre autres un prix de l’or de 1 300 USD donnant un ratio de décapage («strip ratio») de 1,1 :1 pour le modèle conceptuel de la fosse. Le lecteur est prié de se référer au communiqué du 11 décembre 2019 et au rapport complet 43-101 d’estimation des ressources disponible sur SÉDAR et sur le site web de Sirios.

Figure 1 Vue en plan de la fosse. La fosse, indiquée en gris, contient la première estimation des ressources de 1,6 Moz d’or.

Figure 2 Vue en section verticale de la fosse. La fosse, indiquée en gris, contient la première estimation des ressources de 1,6 Moz d’or.

Le contenu scientifique et technique de ce communiqué de presse a été révisé et approuvé par Dominique Doucet, ing., président et chef de direction de Ressources Sirios inc. et Jordi Turcotte, géo. géologue sénior, personnes qualifiées selon la Norme 43-101.

 

À propos de la propriété Cheechoo

La propriété aurifère Cheechoo, détenue à 100% par Sirios, est située à Eeyou Istchee Baie-James, au Québec, à moins de 9 km de la mine d’or Éléonore du producteur Newmont. La première estimation de ressources du projet (déc. 2019) a délimité des ressources présumées contenant 1,6 millions d’onces d’or, avec un potentiel important d’augmentation de ces ressources.

 

À propos de Sirios

Fondée en 1995, Ressources Sirios génère et explore elle-même ses projets d’exploration minière. Pionnière dans la découverte de gîtes aurifères significatifs à la Baie-James au Québec, Canada, Sirios se concentre sur son projet aurifère Cheechoo, découverte de l’année 2016 de l’Association de l’exploration minière du Québec.

 

Énoncés prospectifs :

Ce communiqué de presse contient des « énoncés prospectifs » au sens des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables basés sur les attentes, les estimations et les prévisions à la date du présent communiqué de presse. Les énoncés prospectifs comportent des risques, des incertitudes et d’autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les évènements, les résultats, la performance, les prévisions et les occasions réels diffèrent de façon importante de ceux exprimés ou présumés par ces énoncés prospectifs. Les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de façon importante de ceux indiqués dans ces énoncés prospectifs comprennent notamment, mais sans y être limités, les suivants : des coûts d’investissement et d’exploitation qui diffèrent de façon importante des estimations; la nature provisoire des résultats des tests métallurgiques; les retards ou échecs dans l’obtention des approbations gouvernementales, environnementales ou autres requises; les incertitudes liées à la disponibilité et aux coûts des financements nécessaires à l’avenir; les variations sur les marchés des capitaux; l’inflation; les fluctuations des prix des métaux; les retards dans le développement du projet; les autres risques liés à l’industrie de l’exploration minière et de la mise en valeur et les risques énoncés dans les documents publics de la société déposés sur SEDAR au www.sedar.com. Bien que la société soit d’avis que les hypothèses et facteurs utilisés dans la préparation des énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué soient raisonnables, les lecteurs ne devraient pas accorder une importance indue à cette information, laquelle n’est valable qu’à la date du présent communiqué, et aucune assurance ne peut être donnée que ces évènements se produiront ou se produiront dans les délais mentionnés. La société n’a aucune intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit suite à de nouvelles informations, des évènements futurs ou autres, sauf tel que requis par la législation applicable.

L’estimation des ressources minérales présumées divulguée dans le présent communiqué de presse est conforme aux exigences du Règlement 43-101 et a été préparé par Pierre-Luc Richard, géo, personne qualifiée indépendante, tel que défini dans le Règlement 43-101. La date effective de l’estimation est le 6 décembre 2019. Les ressources minérales ci-dessus mentionnées ne sont pas des réserves minérales puisque leur viabilité économique n’a pas été démontrée. La quantité et la teneur des ressources minérales présumées divulguées sont de nature conceptuelle et sont estimées sur la base d’observations géologiques et d’échantillonnages limités. Les observations géologiques sont suffisantes pour présumer, mais non pour confirmer, la continuité de la géologie, de la teneur et de la qualité de la minéralisation.